mardi 29 juillet 2014

Ce que j'ai joué récemment : Panzer Dragoon (Sega Saturn)



C'est Panzer Dragoon qui ouvre le bal de la Sega Saturn avec un combiné d'expériences proches de Sega, notamment Space Harrier et After Burner. La direction artistique se démarque de ses derniers par un certain lyrisme peu commun à l'époque. 2 ans avant Star Fox 64, qui le dépassera sur tout les plans, Panzer Dragoon est un jeu brute qui manque un raffinement technologique que seulement ses suites sauront donner. C'est le prix à gagner quand on ouvre la voie.
 
 


NB: Les artistes du jeux adoraient le travail de Moebius (Jean-Giraud). On voit les influences et à un tel point que Sega a commander au célèbre bédéiste des illustrations notamment, la jaquette du jeu au Japon.


mercredi 16 juillet 2014

Ce que j'ai joué récemment : Quake 4 (PC)

Vu la nature culte de la série, il est étrange de voir ID software confié son bébé à Raven Software (Masi bon, après Doom III...). Heureusement, les grands principes de la série y sont de retour avec plaisir. J'aime particulièrement le fait que mon doigt à gardé la touche ''W'' pendant pratiquement toute la durée du jeu. Il est dommage de voir les développeurs perdre leur temps avec UNE phase de puzzle, quelques allers-retour pour appuyer sur des boutons et peu de nouveautés notables. Je ne me plaindrai pas d'avoir plus de Quake 2 au final.

mardi 15 juillet 2014

Ce que j'ai joué récemment : Contra Rebirth (WiiWare)

Un mix innatendu entre Contra III : The Alien War et Contra : Hard Corp. La série est toujours chouette mais cette timide entrée ne restera pas dans les anales par manque d'ambitions.


dimanche 13 juillet 2014

Ce que j'ai lu récemment : Beyond!


Une troupe de héros atypique se retrouve transportée par une entité, le Beyonder, sur une planète où ils devront se battre à mort pour retrouver le chemin de la terre. Ils découvriront assez vite que quelque chose cloche à cette prémisse familière.

Un livre à 5$, chouette ! Non, pas vraiment. 
Une histoire avec des héros méconnu qu'on aimerait bien qu'ils soient charismatique pour justifier leur pertinence. Les enjeux dramatique manque alors complètement de poids. Ils sont même l'air plus idiot qu'autre chose quand on peux voir la faille dans leur plan 10 mile à l'avance. Les revirement ne font pas plus de sens. On arrive à la fin avec le sentiment que rien n'a été accompli. La référence à Secret Wars ne fait que me demander pourquoi je ne lis pas plutôt cette histoire à la place. Contrairement à ce que son auteur voudrait bien, la présence de violence gratuite ne donne pas non plus l'impression que les protagonistes sont des badass. Ça tombe plutôt dans le naze style années 1990s.
Ce même style qu'on retrouve dans le dessin complétement à la ramasse. Le manque de structure est accentué par l'encrage effectué à la va-vite. Les couleurs passent d'un extrême à l'autre avec des dégradé photoshop bâcles et des tons fluo. Ce qui nous donne au final un visuel très boueux.
Parfois, on cherche les aubaines dans les baques de solde. C'est quand même cool de trouver plein de BD pour pas chère. Puis, on se rend compte que certains livres ont une raison d'être à rabais. Beyond! se devrait d'y rester.

NB: Cudos à la couverture qui ment en suggérant un Spider-Man au centre de l'histoire. Il n'y est pas vraiment.

vendredi 4 juillet 2014

Ce que j'ai joué récemment : Quantum Conundrum

Si fortement comparé à Portal, Quantum Conundrum cumule les bévues que le jeu de Valve ne fait pas. Physique imprécise pour ce qui nous est demandé, narrateur qui se croit drôle (Malgré le talent de John Delancy qui fait avec ce qu'il a) et phases de plateforme bidons sont parmi les nombreux irritant du jeu. Résoudre un puzzle dans Portal nous offrait la satisfaction et le sentiment d'être brillant, Quantum Conundrum nous donne l'impression d'être un chimpanzé qui viens de gosser sur un manège débile pour recevoir une banane pourrie à la sortie.